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The Jaffa, un hôtel The Luxury Collection, Tel Aviv est un établissement cinq étoiles niché dans un complexe restauré du XIXe siècle, qui hébergeait autrefois l'hôpital français de Jaffa. Idéalement situé près de la mer Méditerranée et du port historique de Jaffa ainsi que des sites touristiques tels que le marché aux puces Shuk Hapishpeshim, le musée des antiquités et les boutiques locales. Explorez la vieille ville portuaire et découvrez la culture locale, savourez les délices épicuriens concoctés par les chefs de notre restaurant Golda's, puis découvrez la sérénité du spa L.RAPHAEL et le luxe personnalisé de nos 120 chambres et suites élégantes conçues par le designer John Pawson. Laissez notre équipe de conciergerie personnaliser chaque instant de votre séjour, apaiser votre esprit et éveiller votre imagination.
Suite de style ouvert avec de hauts plafonds et un design contemporain, dans notre aile historique du 19ème siècle magnifiquement restaurée.
Cette suite au design contemporain offre une vue imprenable depuis son balcon spacieux. Chambre luxueuse, salle de bain somptueuse et vaste salon.
Admirez une vue imprenable sur Tel Aviv-Jaffa depuis votre propre oasis urbaine.
Profitez du soleil méditerranéen sur les bords de notre piscine extérieure et à son bar. La piscine et son bar sont ouverts de manière saisonnière.
Votre oasis urbaine à Tel Aviv
Le Jaffa offre un mélange parfait de services de première qualité, de style et de luxe moderne. Un resort urbain dans le quartier le plus branché de la ville, à quelques minutes de la plage.
Le Jaffa embrasse l'histoire enchanteresse de la ville et compte au sein de son complexe un bâtiment néo-Renaissance unique du 19ème siècle, restauré tout en préservant ses aspects historiques.
Là où le style de vie contemporain rencontre 4 000 ans d’histoire
Nous sommes en 1875. Le navire qui parti à l’aube du port de Beyrouth s’approche des côtes de Jaffa. Leurs visages balayés par le vent et rougis d’excitation, des dizaines de pèlerins se pressent sur le pont : orthodoxes russes, templiers allemands, religieuses françaises, magnats italiens et même des missionnaires mormons venus des lointains États-Unis, tous emportés par la vague de réveil religieux qui a touché le monde chrétien à la fin du 19e siècle. Murmurant l’un à l’autre dans un mélange de langues, saisis par l’attrait mystérieux du Levant, ils monteront en ce matin de printemps dans la ville sainte, mieux connue sous le nom de Jaffa.
Un homme se démarque dans la foule : François Guinet, un riche homme d’affaires lyonnais. Qu’a-t-il vu en regardant depuis la proue du navire ce jour-là ? Un touriste Français qui avait failli mourir du paludisme lors d’une récente visite à Beyrouth et qui avait perdu deux amis à cause de la maladie – quelle image a-t-il vue sur les bancs de grès qui descendaient dans la mer ? Les murs de la vieille ville. Des toits et des palmiers. Des tours d’église et des minarets. Et des marécages, partout où il regardait : des étendues tentaculaires d’eau peu profonde et sombre dans une nuance trouble de brun thé. Des étangs putrides, reflétant le ciel bleu vif dans leurs surfaces vitreuses. Et au-delà d’eux, les ruines délabrées des ruelles de Jaffa.
À la vue de tout cela, Guinet, désemparé, décide de construire une auberge pour les pèlerins se rendant à Jérusalem, un abri à Jaffa qui accueillera à la fois la noblesse et les roturiers avec un repas et un lit confortable. À son retour à Paris, déterminé à tenir son résolution, il consulte son ami le roi e France et le persuade de contribuer financièrement à l’entreprise sacrée. Le roi envoie ses architectes royaux, Ribellet et Grebez, à Jaffa. En parcourant la région, les deux hommes grimpent à son point culminant, qui domine l’horizon à une hauteur de 25 mètres au-dessus du niveau de la mer. Au sommet, ils serrent la main des représentants du régime ottoman et achètent 1,2 acre de terre.
La construction dure quatre ans, résultant en l’un des premiers bâtiments érigés en dehors des murs de la vieille ville. Dominant les ruines, le bâtiment en forme de U dispose d’une cour intérieure et de deux étages de 6 mètres de haut. Les matières premières, ainsi que les forgerons et les vitriers, sont importés de France, mais l’esthétique est caractéristique de la Renaissance romaine : une harmonie d’arcs et de parures, de colonnes et de statuettes en pierre, de vitraux, de lauriers tressés et de fleurs en fer. Au cœur du dernier étage, comme sur le côté gauche du thorax du bâtiment, se dresse une petite église : un ensemble de lourdes portes en bois garde l’une des plus belles chapelles du Saint-Pays, remplie de dômes polygonaux et de superbes fenêtres en mosaïque atteignant le sommet de ses très hauts murs. Une colombe blanche plane au-dessus de l’autel, et en haut, le plafond est orné d’une fresque du ciel nocturne étoilé de Bethléem.
En 1879, le bâtiment a été inauguré lors d’une grande cérémonie. Dans les années qui ont suivi, il a été décidé que l’objectif initial serait élargi pour inclure un hôpital pour les démunis. « L’hôpital Saint-Louis V », déclara Guinet de sa voix graveleuse, « sera ouvert gratuitement à tous les habitants du Saint-Pays, sans distinction de sexe, de religion ou de nationalité. » Les gens ont rapidement commencé à arriver de tout le pays : chrétiens, musulmans et juifs. Leur admission et leur traitement étaient supervisés par les dévouées Sœurs de Saint-Joseph-de-l’Apparition, et un médecin-chef fut nommé par le roi Louis V. Lors de son ouverture, « Le Saint-Louis » contenait quarante lits, pour atteindre par la suite une capacité de cent vingt. Au tournant du 20e siècle, il était considéré comme l’hôpital le plus moderne de la région.
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L’histoire de Jaffa, l’une des plus anciennes villes portuaires du monde, s’étend sur quatre millénaires. Une brève visite de ses sites historiques, même en ne parcourant que quelques centaines de mètres, vous révèlera des vestiges de l'âge du bronze et de l'âge des pharaons, ainsi que des traces de la présence des Perses, des Phéniciens, des Grecs, des Hasmonéens et même des différents conquérants médiévaux et modernes de la ville : les Romains et les Croisés, les Byzantins et les Mamelouks, les Ottomans et les Britanniques. Les parchemin égyptiens datant du 15e siècle avant JC indiquent que le mot « Jaffa » signifie « beauté » (en hébreu et en arabe, les mots sont encore étroitement liés). Néanmoins Jaffa n'était pas uniquement convoitée par les empires d'Orient et d'Occident pour sa beauté, mais aussi pour son emplacement stratégique sur la Via Maris : en effet, c'est par Jaffa que passaient les cortèges de chameaux ainsi que les marchands de sel et de parfums au cours de leurs longs voyages du delta du Nil à la Mésopotamie, sans oublier les navires se rendant de Constantinople à la République de Venise et au reste de l'Europe.
Il est facile d’oublier que la vie israélienne contemporaine n’est que la couche supérieure de milliers d’années d'histoires. Sur la place de la tour de l'horloge, j’attache mon vélo et marche vers le sud, sur les traces de François Guinet et des religieuses de Saint-Joseph, le long de la rue Yefet en direction de la rue Louis Pasteur. Ici, à l’extrémité sud-est de la ville, juste sous mes pieds, courait le contour de l’ancienne muraille, avec ses douves et ses fortifications. Sur les ruines du mur érigé par les Grecs au 1er siècle après J.C., les Romains construisirent un mur au 4e siècle; et sur les ruines du mur des croisés du 12e siècle, les Ottoman s construisirent le leur au 19e siècle. C’est à partir des pierres brisées de ce dernier que les demeures qui bordent aujourd’hui la rue Yefet ont été construites. Plus loin se trouvaient les maisons d’Ajami et de Jibalia, les quartiers arabes qui s’étendaient au sud, et les quartiers de la communauté juive de Neveh Tzedek et Neveh Shalom à l’est.
La pièce maîtresse de l’entrée du Jaffa est un vestige étonnant de ce mur des croisés. Une section du mur rond avec ses pierres claires, vieille de plus de sept cents ans, semble s’élever dans la chaleur de l’élégant hall comme une pointe de roche sortant de la mer. Le mur, qui serpente la cour de l’hôtel, a été découvert lors de fouilles menées par l’autorité des antiquités en préparation du projet de rénovation et de préservation. Mais cette découverte archéologique rare ne fut pas le seul trésor historique découvert. À la stupéfaction de tous, l’excavation révéla également trois caves cachées sous le bâtiment, de multiples arches, dômes et grappes de colonnes, un étage supplémentaire entier de près de 900 mètres carrés, et même un puits ainsi qu'un charmant jardin dans la cour.
L’impact de ces précieuses découvertes dicta les choix en matière de conception et en matière artistique de Ramy Gill, l’architecte de Jaffa chargé de la restauration du bâtiment et de la planification de l’hôtel : « La découverte de milliers d’années d’histoire, dont les couches successives mènent jusqu'à nos jours, nous a obligés à agir avec humilité et respect, et à minimiser notre empreinte en tant que créateurs. Nous estimons qu'il est de notre devoir de préserver l'œuvre des générations précédentes et de l’humanité en général. Nous avons créé une atmosphère contemporaine et luxueuse, mais ancrée dans le lieu et fidèle à son identité. »
Il y a une dizaine d’années, l'actif historique fut le centre d'un nouveau rebondissement, lorsque celui-ci changea de propriétaire. Le promoteur, qui avait acheté le site à l'ordre français en 1997, le revendit en 2006 à Aby Rosen, juif américain magnat de l’immobilier et fondateur de RFR Holding. Ramy Gill, l’architecte local, fut ensuite été rejoint John Pawson, architecte britannique renommé responsable, entre autres, de la conception du Musée du design de Londres. Les deux partenaires, formant une sorte de réincarnation moderne du duo d'architectes royaux Grebez et Ribellet, établirent conjointement leur vision artistique et leurs plans d’agrandissement du complexe.
Pawson déclara : « Tout en portant une attention particulière aux détails ainsi qu'à la simplicité et à la proportionnalité, le maître-mot était pour nous le confort. Créer une enclave de calme et de beauté, en établissant un flux naturel entre les espaces. Au-delà du vaste contexte culturel et historique, c’est avant tout un lieu où l'architecture offre à la fois un sentiment de confort et d’intimité.
Le résultat est un dialogue subtil entre deux siècles, le 19e et le 21e, exprimant chacun leurs gloires et leurs forces. Le bâtiment Renaissance en forme de U fut restauré afin de retrouver la splendeur de ses grands jours du 19e, et le nouveau bâtiment allongé érigé en face est le fruit d'une syntaxe contemporaine, une adaptation du langage du 21e siècle. Il y a un respect mutuel entre l’histoire et le présent, sans ponts, ornements ou liens entre les deux bâtiments, comme si le passé ne faisait que regarder le présent et vice versa.
Cette retenue et ce minimalisme sont également préservés dans les espaces intérieurs. Les chambres de l’ancien bâtiment à haut plafond ne présentent que quelques éléments modernes : chambres de bain isolées, placards, miroirs. Tous les splendides vestibules ont été laissés ouverts, tels quels, non protégés par des enveloppes climatiques vitrées. Les tons crème et ivoire sont éclairés par des luminaires minimalistes, accentués par du verre fin et des touches d’or. Les matériaux minimalistes et la palette de couleurs monochromes ont également guidé la refonte des sols : le grès d’origine, si dominant à Jaffa, a été agrémenté par son cousin éloigné, le travertin, en surfaces traitées de pierre couleur miel qui embrassent à peine la texture du grès.
Les magnifiques stores en treillis ressemblant à de la dentelle, présents à la fois dans le bâtiment historique et dans le nouveau, sont un régal pour pour les yeux et les cœurs. Cet élément délicat et poétique, inspiré du « Moucharabieh », élément de l’architecture arabe traditionnelle, évoque le regard d’une femme voilée, et est particulièrement impressionnant dans le contexte de la sensibilité européenne néo-classique. Et il est merveilleusement approprié pour le climat chaud du Moyen-Orient : une barrière entre l’extérieur et l’intérieur, qui permet néanmoins la circulation de la lumière et de l’air. Les motifs complexes créés par la lumière et les ombres jouant à travers le treillis, à mesure qu’ils s'allongent et évoluent au cours de l’après-midi, rappellent la lumière filtrant à travers la cime des arbres ou le feuillage de la vigne.
Une légère brise apporte l'air de la mer salée, et avec lui un léger parfum de jasmin et de chèvrefeuille. Des cascades de bougainvilliers blancs se reflètent dans l’œil bleu de la piscine. De nombreux bosquets verdoyants de cyprès et de tilleuls, de gardénia et d’arbustes de lavande, attirent dans la cour de petits oiseaux qui emplissent l'air de leurs gazouillis et de leurs chants. Ou peut-être sont-ils attirés par les arômes alléchants du restaurant italien, « Don Camillo », et de l'épicerie fine juive traditionnelle, « Golda’s », avec ses photographies en noir et blanc de l'illustre Première ministre israélienne aux côtés de dirigeants mondiaux.
La petite chapelle située au dernier étage est aujourd'hui le site du nouveau bar lounge à la mode. Pour éviter de risquer d’offenser les croyants, ses icônes ont été retirées et un prêtre catholique a organisé un rituel de déssanctification. Le processus demandant le plus de travail fut l’enlèvement de la peinture utilisée sur les murs dans les années 1970 : en effet, pendant deux années entières, dix ouvriers retirèrent à l'aide de couteaux chirurgicaux les couches d’acrylique jusqu’à lentement découvrir les fresques originales situées en-dessous. Le ciel bleu pâle parsemé d’étoiles de Bethléem a été conservé tel qu’il a été trouvé. La colombe blanche qui plane au-dessus de l’autel fut aussi rétablie, tout comme les vitraux en mosaïque d’origine, restaurés par des experts à l'aide de cristal. La vie nocturne de Tel Aviv-Jaffa n’avait encore jamais connu d'espace aussi raffiné et sophistiqué.
Une promenade parmi les étages révèlera les nombreuses installations et détails exquis de l'hôtel : une salle de sport ultramoderne, un spa luxueux de la marque internationale L.RAPHAEL, ou encore le bar « Shesh Besh ». Il était une évidence pour la chaîne hôtelière internationale Marriott que le Jaffa avait toute sa place dans sa Luxury Collection, une série glamour de plus de quatre-vingt-dix hôtels et centres de villégiature sélectionnés, tous situés dans des sites patrimoniaux parmi les plus originaux au monde. L’atmosphère élégante du Jaffa célèbre l’histoire et l’authenticité, tout en respirant la vivacité et la modernité.
En plus des 120 chambres et suites de l’hôtel, le Jaffa comprend également 34 résidences privées de luxe. Le joyau de la couronne est un vaste penthouse d’une beauté éblouissante qui englobe tout le dernier étage et le toit, où un jardin florissant de verdure méditerranéenne luxuriante complète le panorama à couper le souffle d'un horizon bleu à perte de vue.
La personne responsable de toute cette abondance est le propriétaire et fondateur de RFR Holding, M. Aby Rosen. Le Jaffa est son royaume et, au cours de la dernière décennie, il s'impliqua dans chaque détail de sa réhabilitation, investissant près d’un demi-milliard de dollars dans le projet. Parmi les autres propriétés appartenant à Rosen, l’un des magnats de l’immobilier les plus puissants des États-Unis, figurent le Seagram Building, le Chrysler Building ou encore le 11 Howard, hôtel new-yorkais à la mode. Le Jaffa est le premier projet de Rosen en Israël et l’une de ses entreprises les plus personnelles et uniques, particulièrement chère à son cœur compte tenu de son histoire familiale : en effet, ses parents vivent en Israël, et c'est toujours avec tendresse qu'il se remémore les paysages du pays de ses vacances d’été alors qu'il était enfant.
Aby Rosen : « Le Jaffa est ce que tout hôtel 5 étoiles devrait être. Vous arrivez en tant que client et vous retrouvez plongé dans un rêve, dans un monde féérique. J’ai commencé ce projet en 2005 et il a fallu plus d’une douzaine d’années pour le terminer. J’ai participé au choix de chaque détail, de chaque nuance de la création d’une grande expérience. Et malgré cela, je suis encore aujourd'hui émerveillé par le résultat, qui a dépassé toutes mes attentes.
Rosen est également connu pour être l’un des plus grands collectionneurs d’art au monde.Sa collection, estimée à plus de 700 millions de dollars, comprend des œuvres de Picasso, Basquiat et Francis Bacon.Ceux-ci et d’autres sont fréquemment prêtés à ses hôtels et autres propriétés aux États-Unis et en Europe, mais Rosen dit qu’il n’a pas l’intention d'envoyer une seule de ses pièces en Israël : « Ce n’est pas nécessaire.Ici, l’architecture et les textures sont si belles et lyriques qu'elles se suffisent à elles-mêmes. »Et en effet, les murs des chambres, les vestibules et les couloirs du Jaffa sont tous à nu : légers et purs, avec des plafonds voûtés.Ce sont ces murs eux-mêmes, avec comme tableaux les paysages de Jaffa visibles à travers leurs fenêtres, et le site historique spectaculaire qui les entoure, qui sont les véritables chefs-d’œuvre du lieu.
Un luxe inégalé à Tel Aviv
Premier hôtel de luxe du genre, The Jaffa est situé dans les murs d’un complexe du 19e siècle qui abritait autrefois l’hôpital français de Jaffa.
The Jaffa, un hôtel The Luxury Collection, Tel Aviv, a été reconnu comme étant l'un des meilleurs hôtels du Moyen-Orient par le prestigieux prix Condé Nast Traveller 2023.
La structure du 19e siècle a été transformée en un mélange de modernité et d’histoire, tout en préservant le patrimoine du bâtiment.
Le style minimaliste typique de John Pawson, son mobilier personnalisé, ses lits somptueux, ses salles de bains fastueuses et ses équipements luxueux offrent confort et raffinement à cet hôtel célébrant l'art de vivre local.
Tombez sous le charme de Jaffa et découvrez l'histoire de cette ancienne ville portuaire fascinante lors d'une visite guidée organisée tous les mercredis au coucher du soleil par le service de conciergerie de l'hôtel Jaffa.
Découvrez la torréfaction lente du café, une cérémonie traditionnelle dans la région depuis des siècles. Tous les jeudis, prenez le temps de goûter les saveurs riches et amères qui se libèrent progressivement dans le « finjan », et respirez les arômes de café fort et de cardamome.
Dégustez un thé de l'après-midi dans un espace envoûtant placé temporairement dans la chapelle, en collaboration exclusive avec le célèbre chef pâtissier israélien Alon Shabo. Découvrez des associations uniques de saveurs dans un menu à trois plats alliant pâtisseries contemporaines, épices locales et techniques artisanales, le tout accompagné d'une sélection de thés raffinés.
Jaffa - une expérience multisensorielle stimulante
Offrant un mélange intrigant combinant une histoire et une culture riches, une cuisine délicieuse, une vie nocturne dynamique et un temps idéal, Tel Aviv - Jaffa est une ville incontournable.
Tél. : +972 3 5162000
E-mail : lc.tlvlc.reservations@theluxurycollectionhotels.com
The Jaffa, a Luxury Collection Hotel, Tel Aviv
2 Louis Pasteur St., Tel Aviv-Jaffa, Israël, 6803602
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Service de transport en véhicule privé
Service de limousine/minibus
À proximité
Arrêt d'autobus
Tel Aviv Central Bus Station
Gare
Israel Railways - Hahagana Station
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Service d'étage disponible 24h/24
Service d'entretien tous les jours
Service de couverture
Location de vélo
Service de nettoyage à sec
Service de blanchisserie
Service de chambre
Service de réveil
Accès Wi-Fi gratuit
Demande de service
Enregistrement: 15 h 00
Parti: 12 h 00
Propriété non-fumeur
Animaux de compagnie admis.
Un animal de compagnie maximum par chambre. Poids maximum de 5 kg. Aucun supplément pour les animaux de compagnie.
Poids maximal autorisé pour les animaux de compagnie: 5KGS
Nombre maximum d’animaux dans la chambre: 1
Chaque jour: $20
Chaque semaine: $140
PerStay: $140
Flea Market Parking Ltd. 1.0 Km
Chaque jour: $20
Par l'équipe Expériences clients du Jaffa
Accepte: Cartes bancaires
L'établissement dispose d'ascenseurs
Service de conciergerie
Langues parlées par le personnel:
Anglais, Hébreu
Pour en savoir plus sur les caractéristiques de nos chambres et espaces communs accessibles aux personnes à mobilité réduite mais aussi sur les services spéciaux liés à un handicap particulier, veuillez nous contacter +972 3-5042000
Aire de stationnement accessible aux fourgonnettes sur place
Aire de stationnement sur place accessible aux personnes à mobilité réduite
Ascenseur autonome ou pente d'accès dans les piscines de l’hôtel
L'établissement dispose d'ascenseurs
Les animaux d’aide aux personnes handicapées sont les bienvenus
Stationnement avec voiturier pour les véhicules conçus pour les conducteurs en fauteuil roulant
Chambres et suites accessibles via le couloir intérieur
L'entrée du centre de fitness sur place est accessible aux personnes à mobilité réduite
Les restaurants sur place sont accessibles aux personnes à mobilité réduite
L’entrée de la piscine sur place est accessible aux personnes à mobilité réduite
L’entrée principale est accessible aux personnes à mobilité réduite
Barres d’appui antidérapantes dans la salle de bain
Chambres accessibles aux personnes sourdes et malentendantes et/ou kits pour personnes sourdes et malentendantes
Chambres accessibles aux personnes à mobilité réduite
Clés de chambre électronique
Douches accessibles en fauteuil roulant
Douchettes ajustables en hauteur
Judas abaissés sur les portes des chambres
Judas sur les portes des chambres et des suites
Les fenêtres des chambres peuvent s'ouvrir
Meubles de toilette accessibles aux personnes à mobilité réduite
Poignées-béquilles sur les portes des chambres
Portes à fermeture automatique dans les chambres et les suites
Prises électriques abaissées
Sièges de toilette à hauteur des fauteuils roulants - Toilettes accessibles aux personnes à mobilité réduite
Système de réveil avec sonnerie depuis le téléphone
Verrouillage secondaire sur les fenêtres des chambres